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On trouvera dans cet ouvrage 164 poésies amoureuses des Touaregs, telles que je les ai recopiées entre 1955 et 1960 sur les volumes du Père de Foucauld conservés à la Bibliothèque de l’IFAN à Niamey. Et on ne pourra qu’être reconnaissant à cet immense devoir de mémoire accompli par l’ermite du Hoggar entre 1900 et 1917, auquel j’ai voulu donner suite.
A la veillée, au campement, une jeune femme libre a accordé son violon, l’amzâd. La cour d’amour des jeunes gens touaregs, l’Ahâl, peut commencer, après ce chant :
« Celui-ci, le violon à l’œil sec,le Très-Haut lui donne protection !Pour que, s’il chante, les hommes se taisent, en rattachant le voilesur leur visage. »
« Celui-ci, le violon à l’œil sec,le Très-Haut lui donne protection !Pour que, s’il chante, les hommes se taisent, en rattachant le voilesur leur visage. »
1 commentaire:
slt mn frere Al-ansary cette fois pas mal de tout . je vois vous commencer A ete plus ouverte que Avant .
le peuple touareg compte sur vous .
caurage et bn chance
A +
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