Le peuple Malinké est l'un de ceux dont l'histoire domine le passé du Mali.
Plusieurs anthropologues, ethnologues, historiens, etc., et des plus éminents, ont déjà beaucoup écrit sur les Malinké.
Certes, il lui arrive de temps à autre d'avoir des sursauts de révolte devant certaines injustices, mais qui n'en rappellent pas moins les principes d'honneur qui régissaient la vie de ses ancêtres.
Comme on le verra par la suite, les Malinké paraissaient unis aux bambara par une étroite parenté qui révèlent les caractères suivant : type physique sensiblement identique, communauté de langue à l'exception de certains mots empruntés par les bambara d'autres idiomes et surtout unité quasi totale de mœurs, de coutumes, de croyances et de pratiques religieuses.
Plusieurs anthropologues, ethnologues, historiens, etc., et des plus éminents, ont déjà beaucoup écrit sur les Malinké.
Certes, il lui arrive de temps à autre d'avoir des sursauts de révolte devant certaines injustices, mais qui n'en rappellent pas moins les principes d'honneur qui régissaient la vie de ses ancêtres.
Comme on le verra par la suite, les Malinké paraissaient unis aux bambara par une étroite parenté qui révèlent les caractères suivant : type physique sensiblement identique, communauté de langue à l'exception de certains mots empruntés par les bambara d'autres idiomes et surtout unité quasi totale de mœurs, de coutumes, de croyances et de pratiques religieuses.
Les Malinkés sont très proches culturellement des Bambaras, leur langue est presque identique. Ce sont avant tout des paysans.
Les Malinkés étaient l’ethnie dominante de l’Empire du Mali.
L’organisation sociale repose sur la famille élargie, patrilinéaire. La polygamie est une pratique courante. La société est hiérarchisée en trois niveaux : la noblesse, issue de la famille des Keïta, empereur du Mali ; les gens de castes (forgerons, griots ou dyeli) ; et auparavant les esclaves.
Dans les villages malinkés, il existe des sociétés secrètes. Les chasseurs, qui portent un boubou auquel sont fixés différents grigris (cauris, morceau de miroir, griffes et dents de fauves) se regroupent dans les confréries des chasseurs.
La littérature orale, à travers les contes, est très développée. Il ne faut pas confondre avec les mythes, transmis par les griots dont le plus connu est l’épopée de Soundiata Keïta, le fondateur de l’Empire du Mali. Les griots ont un rôle important. Attachés à une famille ou de nos jours indépendants, les griots ont comme mission de conserver la mémoire du clan et de la retransmettre au cours des cérémonies. Ils servent aussi d’intermédiaires pour les mariages.
Les Malinkés parlent la langue malinké.
Les Malinkés étaient l’ethnie dominante de l’Empire du Mali.
L’organisation sociale repose sur la famille élargie, patrilinéaire. La polygamie est une pratique courante. La société est hiérarchisée en trois niveaux : la noblesse, issue de la famille des Keïta, empereur du Mali ; les gens de castes (forgerons, griots ou dyeli) ; et auparavant les esclaves.
Dans les villages malinkés, il existe des sociétés secrètes. Les chasseurs, qui portent un boubou auquel sont fixés différents grigris (cauris, morceau de miroir, griffes et dents de fauves) se regroupent dans les confréries des chasseurs.
La littérature orale, à travers les contes, est très développée. Il ne faut pas confondre avec les mythes, transmis par les griots dont le plus connu est l’épopée de Soundiata Keïta, le fondateur de l’Empire du Mali. Les griots ont un rôle important. Attachés à une famille ou de nos jours indépendants, les griots ont comme mission de conserver la mémoire du clan et de la retransmettre au cours des cérémonies. Ils servent aussi d’intermédiaires pour les mariages.
Les Malinkés parlent la langue malinké.
Sources:Wikipedia,"Les ethnies du Mali" et l'article "Les Malinkes et l'empire du Mali".
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