Le tourisme de masse est devenu un moteur essentiel de la croissance mondiale. Globalisé et capitalistique, il est aux mains d’un nombre de plus en plus restreint de grands opérateurs. Ce développement bénéficie principalement aux pays du Nord et à leurs entreprises, alors que les populations du Sud en subissent les principaux effets néfastes.Si la situation est grave avec les 700 millions de touristes actuels, que penser de ce qu’elle sera avec les 1,6 milliard de touristes annoncés par l’Organisation mondiale du tourisme pour l’horizon 2020, c'est-à-dire demain ? Des voix de plus en plus nombreuses s’élèvent pour dénoncer ce « tourisme prédateur », tandis que les citoyens du Nord commencent à se préoccuper de consommation éthique. Le tourisme, le premier des services, est concerné.Un mouvement mondial émerge, fruit d’une alliance entre des citoyens responsables au Nord, des entreprises communautaires de tourisme au Sud, des tour-opérateurs, des collectivités territoriales, des Ongs, des organisations de coopération, des agences de l’ONU.Ce site a pour objet, conformément aux décisions du forum international « Tourisme solidaire et développement durable » de Marseille, le FITS 2003, de mettre à votre disposition des textes, des chartes, des contacts, des documents de projet, des références concernant le « tourisme solidaire et responsable ».
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