Industries culturelles - Les métiers de producteur de spectacles de manager et de production d'oeuvre musicale étaient au programme d'un atelier qui a entamé ses travaux voilà une semaine au Palais de la culture Amadou Hampaté Ba sous la présidence du ministre de la Culture, Mohamed El Moctar.
Organisée par l'Organisation intergouvernementale de la Francophonie (OIF) et le ministère de la Culture, la session s'est consacrée durant trois jours à donner du bagage aux formateurs en services et gestion d'entreprises. L'atelier a réuni près de cent participants composés d'artistes-musiciens, interprètes, producteurs, promoteurs de spectacles, managers, etc, venus de tout le pays. Ils devaient apprendre les textes régissant la profession de producteur, de diffuseur d'oeuvre musicales et de producteur de spectacles, identifier les obstacles à la promotion de la production musicale, définir les conditions d'exercice de la profession de producteur, contribuer à améliorer les conditions de vie et de travail des artistes et proposer des solutions aux difficultés qui entravent l'expansion du secteur et le développement des industries de la musique.
Les participants ont discuté des thèmes retenus en vue d'apporter leur contribution à l'émergence d'une véritable économie de la culture. Troisième du genre, cet atelier "est une opportunité de réfléchir sur les véritables causes qui handicapent le bon fonctionnement de l'industrie musicale. Il vous appartient de proposer des solutions aux problèmes identifiés et de faire des recommandations pour sa bonne marche au bénéfice de tous les acteurs du domaines", avait souhaité le ministre de la Culture à la cérémonie d'ouverture.
La session s'inscrit dans le cadre du projet "Réduction de la pauvreté au moyen des capacités productives et de l'expansion du commerce dans l'industrie de la musique au Mali" de l'OIF. Ce projet est destiné à améliorer la contribution des industries culturelles et créatives au développement socio-économique des Pays les moins avancés (PMA) ouest- africains. Pour cela, il soutient les acteurs clés dans leurs efforts pour créer des emplois décents et promouvoir le potentiel de croissance dans les industries créatives.
Y. DOUMBIA
L'Essor n°16300 du 13 octobre 2008
Organisée par l'Organisation intergouvernementale de la Francophonie (OIF) et le ministère de la Culture, la session s'est consacrée durant trois jours à donner du bagage aux formateurs en services et gestion d'entreprises. L'atelier a réuni près de cent participants composés d'artistes-musiciens, interprètes, producteurs, promoteurs de spectacles, managers, etc, venus de tout le pays. Ils devaient apprendre les textes régissant la profession de producteur, de diffuseur d'oeuvre musicales et de producteur de spectacles, identifier les obstacles à la promotion de la production musicale, définir les conditions d'exercice de la profession de producteur, contribuer à améliorer les conditions de vie et de travail des artistes et proposer des solutions aux difficultés qui entravent l'expansion du secteur et le développement des industries de la musique.
Les participants ont discuté des thèmes retenus en vue d'apporter leur contribution à l'émergence d'une véritable économie de la culture. Troisième du genre, cet atelier "est une opportunité de réfléchir sur les véritables causes qui handicapent le bon fonctionnement de l'industrie musicale. Il vous appartient de proposer des solutions aux problèmes identifiés et de faire des recommandations pour sa bonne marche au bénéfice de tous les acteurs du domaines", avait souhaité le ministre de la Culture à la cérémonie d'ouverture.
La session s'inscrit dans le cadre du projet "Réduction de la pauvreté au moyen des capacités productives et de l'expansion du commerce dans l'industrie de la musique au Mali" de l'OIF. Ce projet est destiné à améliorer la contribution des industries culturelles et créatives au développement socio-économique des Pays les moins avancés (PMA) ouest- africains. Pour cela, il soutient les acteurs clés dans leurs efforts pour créer des emplois décents et promouvoir le potentiel de croissance dans les industries créatives.
Y. DOUMBIA
L'Essor n°16300 du 13 octobre 2008
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire