Sous l’égide de l’association “CULTUR’ELLES“ et ses partenaires, les quartiers ORANGE abrite, depuis plus d’une semaine, une exposition photo sur l’image du migrant.
L’activité s’inscrit dans le cadre du projet “Clin d’œil” qui vise la valorisation de l’art comme support de communication. Pour la cause, des photographes venues de la France sont dans nos murs depuis le début de ce mois de Novembre. Dans leurs bagages se trouvent plusieurs photos réalisées dans les foyers où résident nos compatriotes à la recherche d’une vie meilleure en France.
Elles ont également décidé de se rendre à Kayes, notamment dans les villages de Bada et Monéa, d’où sont originaires certains de ces Maliens résidant en France. Là aussi, les photographes françaises ont pu prendre des images sur la vie des familles et surtout, sur les réalisations faites par les immigrés.
Selon la présidente de l’association “CULTUR’ELLES“ et initiatrice de ce projet, Mme Mantchni Traoré, il s’agira, tout au long de ce mois de Novembre, de faire la découverte de l’image des exilés à travers des conférences-débats, mais surtout, des expositions photos. C’est pourquoi, après une conférence de presse organisée pour marquer le lancement de cette activité, les visiteurs ont également pu voir des photos sur la vie de nos migrants ainsi que celle de leurs familles restées au village.
En marge de l’évènement, une conférence-débat a eu lieu au même endroit le vendredi dernier (14 Novembre). Parmi les principaux conférenciers, on notait M. Salia Mallé, chercheur au Musée National. Dans un brillant exposé, il a fait ressortir l’image du migrant dans ses multiples facettes : entre autres, l’impression que l’opinion se fait de lui dans ce pays de l’accueil, celle qu’il retrouve une fois qu’il retourne au bercail.
Le conférencier insistera également sur la forte solidarité entre ces migrants, car, dit-il, ce sont des gens qui s’entraident dans de nombreuses situations. Quant aux images exposées, elles attestent aussi la réalité dans la vie de ces migrants.
Au cours de cette conférence-débat qui a mobilisé plusieurs photographes de Bamako, les préoccupations ont surtout tourné autour de ce qui motivé les françaises à s’intéresser à un tel sujet. Toutes choses auxquelles elles ont répondre en donnant des explications de leur démarche. Mais avant la fin du débat, les participants ont tous été unanimes à reconnaître le rôle des migrants.
L’activité s’inscrit dans le cadre du projet “Clin d’œil” qui vise la valorisation de l’art comme support de communication. Pour la cause, des photographes venues de la France sont dans nos murs depuis le début de ce mois de Novembre. Dans leurs bagages se trouvent plusieurs photos réalisées dans les foyers où résident nos compatriotes à la recherche d’une vie meilleure en France.
Elles ont également décidé de se rendre à Kayes, notamment dans les villages de Bada et Monéa, d’où sont originaires certains de ces Maliens résidant en France. Là aussi, les photographes françaises ont pu prendre des images sur la vie des familles et surtout, sur les réalisations faites par les immigrés.
Selon la présidente de l’association “CULTUR’ELLES“ et initiatrice de ce projet, Mme Mantchni Traoré, il s’agira, tout au long de ce mois de Novembre, de faire la découverte de l’image des exilés à travers des conférences-débats, mais surtout, des expositions photos. C’est pourquoi, après une conférence de presse organisée pour marquer le lancement de cette activité, les visiteurs ont également pu voir des photos sur la vie de nos migrants ainsi que celle de leurs familles restées au village.
En marge de l’évènement, une conférence-débat a eu lieu au même endroit le vendredi dernier (14 Novembre). Parmi les principaux conférenciers, on notait M. Salia Mallé, chercheur au Musée National. Dans un brillant exposé, il a fait ressortir l’image du migrant dans ses multiples facettes : entre autres, l’impression que l’opinion se fait de lui dans ce pays de l’accueil, celle qu’il retrouve une fois qu’il retourne au bercail.
Le conférencier insistera également sur la forte solidarité entre ces migrants, car, dit-il, ce sont des gens qui s’entraident dans de nombreuses situations. Quant aux images exposées, elles attestent aussi la réalité dans la vie de ces migrants.
Au cours de cette conférence-débat qui a mobilisé plusieurs photographes de Bamako, les préoccupations ont surtout tourné autour de ce qui motivé les françaises à s’intéresser à un tel sujet. Toutes choses auxquelles elles ont répondre en donnant des explications de leur démarche. Mais avant la fin du débat, les participants ont tous été unanimes à reconnaître le rôle des migrants.
Source:
Soir de Bamako
2008-11-20, 14:00.
Soir de Bamako
2008-11-20, 14:00.
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