« C’est le minime sans ambition qui reste minime. Cette année, le CNCM entend présenter la Senafab 2008 sous un autre visage ». Ces mots sont du président de la Commission d’organisation de la 5è édition de la semaine du film africain de Bamako (Senafab), Sidy Diabaté.
L’édition 2008 de la Senafab s’ouvre aujourd’hui et va prendre fin le dimanche 30 mars. Le thème de cette année est « problématique de la production cinématographique et audiovisuelle : une approche sous régionale ».
La Senafab 2008 verra la participation des pays de la sous-région qui seront présents avec leurs productions. Cette année, contrairement aux éditions précédentes, les spécialistes du 7ème art vont ensemble dégager des pistes pour revitaliser la production et la formation d’une part, et la promotion et la mise en marche des productions audiovisuelles et cinématographiques par le biais de l’approche sous-régionale. «Nous voulions que Bamako devient un pole de développement du cinéma », a dit M. Diabaté. L’objectif recherché, selon le président de la commission d’organisation, est la reconquête de nos petits écrans inondés par des films étrangers.
La Senafab sera marquée par la projection de films traditionnels et classiques qui ont remporté des étalons lors des éditions du Fespaco « Ta Dona », « Kabala », « Faraw », « Sarraouina », « Djely »… Mais seront projetés également des films de séries télévisuelles maliens dans différentes salles de cinéma et dans les établissements secondaires.
Le CNCM, depuis l’arrivé de Moussa Ouane, son directeur, s’est engagé dans une politique de renouveau du cinéma malien. C’est dans ce cadre qu’il a mis sur écrans des films comme la série policière commissaire Balla, Duel à Dafa, grin…
L’édition 2008 de la Senafab s’ouvre aujourd’hui et va prendre fin le dimanche 30 mars. Le thème de cette année est « problématique de la production cinématographique et audiovisuelle : une approche sous régionale ».
La Senafab 2008 verra la participation des pays de la sous-région qui seront présents avec leurs productions. Cette année, contrairement aux éditions précédentes, les spécialistes du 7ème art vont ensemble dégager des pistes pour revitaliser la production et la formation d’une part, et la promotion et la mise en marche des productions audiovisuelles et cinématographiques par le biais de l’approche sous-régionale. «Nous voulions que Bamako devient un pole de développement du cinéma », a dit M. Diabaté. L’objectif recherché, selon le président de la commission d’organisation, est la reconquête de nos petits écrans inondés par des films étrangers.
La Senafab sera marquée par la projection de films traditionnels et classiques qui ont remporté des étalons lors des éditions du Fespaco « Ta Dona », « Kabala », « Faraw », « Sarraouina », « Djely »… Mais seront projetés également des films de séries télévisuelles maliens dans différentes salles de cinéma et dans les établissements secondaires.
Le CNCM, depuis l’arrivé de Moussa Ouane, son directeur, s’est engagé dans une politique de renouveau du cinéma malien. C’est dans ce cadre qu’il a mis sur écrans des films comme la série policière commissaire Balla, Duel à Dafa, grin…
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